Propre à la contrefaçon, de nombreux clients confondent l’original à la copie pirate non conforme. Nous sommes tous victimes depuis 2012 de cybercriminels qui exercent en toute légalité et que visiblement l’État des voyous a décidé de privilégier. Une honte de plus pour le pays ! Qu’attendent le Ministre de l’Intérieur et le Ministre de la Justice pour mettre un terme à ce type de crime, qui cause du tort à tous dans la confiance du commerce numérique. Agissez ou vous êtes complice du parti de la racaille ! On attend autre chose de la classe politique.
Fidèle à l’État de droit et à ses institutions, nous subissons et n’avons jamais agit avec une quelconque malveillance envers les cybercriminels, qui plus est situés à 2 km de nos locaux, cela ajoute à la confusion et aux réseaux géolocalisés. La clientèle croit que c’est la même entreprise et que Lautoporté.com se moque d’elle alors que c’est le contraire.
On ne peut même pas citer le nom du site pirate ni des cybercriminels, que tout le monde aura reconnu, car ils ont déjà porté plainte pour diffamation et le politico-judiciaire leur donne à nouveau raison de suite en nous condamnant. Ils ne manquent pas de culot et de flagrant délit parti pris de la racaille en nous infligeant une amende de 15000 € après avoir dépensé presque 50000 € de frais d’injustice et après 6 ans d’attente pour assister à un procès bidon façonné à l’avance entre délit d’initiés sous nos yeux. Il ne s’agit pas d’un litige entre 2 concurrents, ils n’existent que par le vol de nos données et le détournement de notre clientèle. Un véritable trafic qui s’élève à plusieurs millions d’euros investis dans l’immobilier, voitures de luxe …
Nous sommes 100% victime, on n’a qu’une version comme le récit des faits énoncés au tribunal. Le politico-judiciaire a décidé d’écraser l’entreprise victime, le dirigeant fondateur du site original, la clientèle française et européenne, les professionnels de la motoculture, de nombreux témoins d’un département rural, l’enquête de gendarmerie, l’OPJ formé en cyber, le iConstat d’huissier de justice, le Procureur …
On ne peut même plus exercer notre métier correctement. On a dû couper le téléphone car nous sommes harcelés par la clientèle qui confond et qui le plus souvent ne comprend pas, car elle a cru commander sur Lautoporté, les pirates utilisant une partie de notre appellation d’origine, nom de domaine et marque déposée. D’autres se font arnaquer avec des avoirs. Ce n’est pas notre méthode de fonctionnement, car nous remboursons les retours de suite. Nous ne sommes en rien responsables de leurs agissements. On reçoit même des colis acheté chez les pirates pour un retour garanti chez nous. Idem pour le SAV, on nous demande des renseignements sur le site pirate. L’horreur au quotidien.
Le site e-commerce Lautoporté.com est conforme au RGPD et a déjà fait l’objet d’un contrôle inopiné et approfondi de la DGCCRF dans les locaux de l’entreprise Moteurs & loisirs : contenu du site, obligations légales, simulation de commande client avec contrôle du stock réel.
(Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes)
Pourquoi cette proximité du site pirate avec le site original Lautoporté.com ® ? C’est tout simple : Lautoporté.com créé en 2010 a fait appel à une société informatique pour du développement en 2012. Au vu des chiffres et du succès rencontré, la société informatique a fermé le rideau pour se convertir en soi-disant concurrent, en prenant soin de détruire le site original après avoir récupéré toutes les données. Le hacker et son dirigeant, propriétaires du site pirate, ne sont autres que la société informatique locale à qui Lautoporté.com s’était adressé. Les barbouzes parisiennes nous ont tous fait galérer dans une instruction et procédure de cybercriminalité interminable, alors que le fondateur de Lautoporté a présenté un dossier contenant tous les éléments à la gendarmerie dans les 48 H & Re Transmission en Français : -) On s’est tous fait BERNER, en capitale ! Pourquoi ? Le fondateur du site Lautoporté.com, c’est aussi l’Architecteur fondateur de la politique macro-économique des Pôles de compétitivité inscrite sur le site officiel de Bercy depuis 2005, qui n’est autre qu’un plagiat du programme AAA remis au Sénat en 2002 ! Décidément, le territoire est vaste, mais le monde des escrocs-si est petit.
Article paru dans la presse locale : QUIDAM – Décembre 2017